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RELATIONS AGRICULTURE / BIODIVERSITE

POINT DE VUE SYNTHETIQUE DU BIOLOGISTE

(À L’OCCASION DU DEUXIÈME REMEMBREMENT DE MONTILLOT)

Pascal Collin, septembre 2003

P. Collin est directeur du Conservatoire Régional d’ Espace Naturel de Franche-Comté qui a pour mission de gérer les milieux naturels les plus remarquables de Franche-Comté.

Les changements économiques intervenus durant la seconde moitié du XXe siècle ont considérablement modifié les usages des fonds ruraux et le début des années 70 représente un véritable tournant pour les écosystèmes agricoles (Fottorino, 1989 ; Altesor et al., 1998 ; Austad & Losvik, 1998 ; Stampfli & Zeiter M., 1999 ; Alard & Poudevigne, 1999 ; Ihse & Lindahl, 2000 ; Collin et al. 2000). Schématiquement, on peut distinguer deux cas avec, d’une part l’abandon des zones peu productives, et d’autre part l’intensification des autres secteurs.

Montillot est directement concernée par les mutations du monde agricole et le second remembrement ne fait qu’exacerber ce phénomène. Cet article a été réalisé à partir des opérations de suivi des mesures agri- environnementales (MAE, un des nombreux sigles de l’agriculture) menées en Franche-Comté. Son but est d’apporter des éléments de réponse aux conséquences des changements de pratiques agricoles vis à vis des habitats naturels et des espèces que l’on peut rencontrer dans les « écosystèmes agricoles ».

De l’intensification  

Plusieurs facteurs ont contribué à l’intensification de l’agriculture avec en particulier une énergie disponible et bon marché qui a favorisé une augmentation des intrants (engrais, pesticides, irrigation, mécanisation) et une refonte des paysages (Pointereau, 1999).

Une des premières conséquences de l’intensification a été de créer un déséquilibre entre les trois grands types d’occupation du sol (Lerat, 1993) : les surfaces en céréales et oléoprotéagineux (SCOP), les surfaces toujours en herbe (STH) et les friches et forêts (la distinction de ces deux formations serait souhaitable). En particulier, la surface toujours en herbe a beaucoup diminué essentiellement au profit des céréales et surtout des oléoprotéagineux. 

Tandis que la France perdait 25 % de ses prairies permanentes de 1979 à 2000, la Bourgogne voyait les siennes diminuer de 15% soit une perte de 125 723 hectares ha. Dans le même temps la surface destinée à la culture des oléagineux était multiplié par 5,2  (+ 165 371 ha). Il est également important de noter, durant la même période, la spectaculaire (et inquiétante) progression du drainage par drains enterrés avec un accroissement des surfaces « assainies » de 214 % (+ 108 871 ha) en Bourgogne. La diminution parallèle de la surface agricole utile, environ – 3 % soit 47 112 hectares, est également symptomatique de ce processus. 

La perte de biodiversité animale et végétale est une des conséquences de cette intensification (Kornas, 1983). On observe depuis quelques années, à travers l’Europe, une diminution des populations d’oiseaux inféodés aux paysages agricoles et cela même chez les espèces les plus banales. 

Par exemple, une étude menée en Angleterre a mis en évidence une diminution de 60 % des populations de Bruant jaune (Emberiza citrinella) et d’Alouette des champs (Alauda arvensis) au cours des 25 dernières années (Crick et al., 1998). Un constat analogue peut être dressé par exemple, pour la Franche-Comté (Piotte et al., 1984 ; François & Michelat, 1996-98).

Ce déclin a été mis en parallèle avec les changements majeurs intervenus dans la conduite des exploitations agricoles qui ont abouti à d’importantes modifications dans la structure des habitats (Rands, 1985 ; Robertson & Berg, 1992 ; Broyer, 1988, 1994, 2000 ; Tucker & Heath, 1994 ; Stroate, 1996 ; Robinson & Sutherland, 1999). 

Des changements analogues ont été observés chez diverses populations d’arthropodes avec pour origine essentielle la diminution ou la disparition de la flore naturelle des cultures (Aebischer & Potts, 1990 ; Hald, 1999). 

Les plantes des moissons, ou messicoles, font partie des taxons parmi les plus menacés par l’intensification de l’agriculture (Mortimer, 1997 ; Haas & Streibig, 1982). Dans le département du Jura, elles ont fortement diminué puisque 21 % des espèces, sur une liste de 86 plantes, ont aujourd’hui disparu et 42 % d’entre elles ont vu leurs effectifs diminuer de façon significative depuis la fin du 19e siècle (Collin et al., 2000). Les causes de la régression de ces espèces sont aujourd’hui bien connues : mécanisation, tri des semences, utilisation de variétés sélectionnées, épandage de fertilisants et d’herbicides, abandon de l’assolement et utilisation de nouvelles espèces (Haas & Streibig, 1982 ; Aboucaya et al., 2000). 

Les prairies n’échappent pas non plus à cette baisse de la biodiversité du fait de (Green, 1990; Broyer, 1988, 1994 ; Magnanon, 1991 ; Daudon, 1993 ; Muller, 1996 ; Grévilliot & Muller, 1995, 1996) : l’augmentation de la fertilisation qui aboutit à une eutrophisation du milieu entraînant alors une disparition des espèces oligotrophes ; l’augmentation du taux de renouvellement de la prairie qui perturbe le milieu et qui cause des difficultés de survie pour certaines espèces vivaces ; l’introduction massive d’espèces génétiquement améliorées qui augmente la compétition interspécifique et entraîne une disparition des espèces non compétitives ; les modifications des propriétés hydriques et physico-chimiques du sol telles que le drainage qui conduit à la disparition des espèces de milieux humides ou le chaulage qui fait disparaître les espèces calcifuge ; la fauche précoce qui empêche la reproduction des thérophytes et des espèces à fructification « tardive » ; l’utilisation de pesticides (anti-mousse, bromadiolone, etc.) et la déprise agricole dans certains cas.

La plupart des paysages européens sont le résultat de corrélations entre l’environnement et l’agriculture (Kornas, 1983). 

La structure spatiale du paysage est un élément déterminant de l’abondance locale d’une espèce et cela indépendamment de l’effet de la qualité des habitats (Opdam, 1991 ; Wiens, 1995 ; Hanski, 1999 ; Selinger-Looten et al., 1999). L’intensification de l’agriculture implique des changements paysagers tels que l’agrandissement de la taille moyenne des parcelles, la suppression des haies et des talus, le drainage, le regroupement des types de cultures, etc.  

Outre les effets paysagers, hydrauliques et climatiques, il en résulte une fragmentation des habitats qui affecte la dynamique des populations végétales et animales dans ces processus fondamentaux : migration et colonisation (Giraudoux et al., 1997 ; Hanski, 1999 ; Alard & Poudevigne, 1999). 

Une des questions récurrentes posée par les gestionnaires de milieux naturels concerne l’échelle pertinente pour la conservation de la biodiversité. Les niveaux d’interactions entre paysage et agriculture sont dépendants du type d’exploitation mis en place, c’est-à-dire : à quel point les conditions naturelles ont-elles contraint les pratiques agricoles et dans quelle mesure l’agriculture a-t-elle façonné l’environnement ? La détermination de ces corrélations aboutit à une appréciation de l’organisation du paysage qui correspond à un ensemble d’unités agro- environnementales connues en France sous le nom de terroirs chez les agronomes ou d’éco- complexes chez les écologistes. Ces unités paysagères sont elles-mêmes composées de différentes parcelles qui font l’objet de pratiques agricoles homogènes mais qui peuvent parfois présenter une mosaïque de plusieurs communautés végétales. Chacune de ces communautés (ou habitat) constitue l’unité écologique de base à partir de laquelle on détermine la valeur patrimoniale du milieu et son mode de gestion (Muller, 1996 ; Alard & Poudevigne, 1999).

La notion de paysage est indissociable de celle de biodiversité et l’agriculture joue un rôle clef dans leur mise en place, l’intensification des zones productives et l’abandon des secteurs moins rentables sont deux expressions extrêmes de ce processus. Toutefois, intensification et abandon n’ont pas les mêmes effets sur l’environnement et incontestablement, le vrai défi pour l’agriculture consiste à « renaturaliser » les secteurs conduits de façon intensive.

De l’abandon

L’abandon des zones peu productives a de multiples conséquences à la fois écologiques, agricoles, sociales et économiques (Baudry, 1989 ; Bidault et al., 1994 ; Brossard et al., 1997 ; Sciama, 1999 ; Stampfli & Zeiter, 1999). La déprise agricole peut être définie comme étant : « la résultante d’un contexte socio-économique particulier, entraînant l’arrêt de l’utilisation du sol se traduisant par l’apparition de discontinuités spatiales dans l’exploitation et/ou la rupture du système agricole traditionnel, ou encore la reprise biologique sur les territoires abandonnés » (in Bidault et al., 1994).

Cet abandon traduit la diminution du nombre d’exploitations agricoles en France ; l’agriculture ne concerne plus aujourd’hui que 4,8 % de la population active contre 13,5 % en 1970. Toutefois, la déprise agricole de la fin du XXe siècle n’est pas la première que l’ensemble de la Franche-Comté et des autres régions françaises aient connue (Bégeot, 1997). La perte de diversité faunistique et floristique (biodiversité), au moins du point de vue qualitatif, est une des conséquences écologiques à long terme de la déprise agricole lorsqu’elle s’applique à des espaces traités précédemment de façon extensive par le pâturage (Bidault et al., 1994).

Cette perte concerne les espèces inféodées aux milieux ouverts et intervient le plus souvent après une nette augmentation de la biodiversité dans les stades juvéniles et post-juvéniles de la recolonisation (Bidault et al., 1994).

Ce processus est particulièrement frappant dans le cas de l’abandon des terres de qualité moyenne à médiocre, c’est-à-dire dans les pelouses et les zones humides. Le maintien de ces écosystèmes à un stade « bloqué » de leur dynamique est essentiel pour la sauvegarde de certaines espèces patrimoniales (Parnassius apolloAster amellusSaxifraga hirculusOrobranche bartlingii, etc.). Par exemple, pour les pelouses, la richesse biologique maximale correspond à un équilibre entre les maxima d’abondance et de richesse et les maxima de richesse patrimoniale qui interviennent respectivement pour une fermeture de l’ordre de 50% du milieu par la strate buissonnante et dans les milieux totalement ouverts, mais ayant une structure en mosaïque, ou en début de fermeture (Bidault et al., 1994).

Il convient toutefois de faire ici une remarque importante : l’abandon d’une parcelle conduite de façon intensive aboutit à l’augmentation de sa valeur biologique (biodiversité, paysage, lutte contre l’érosion, lutte contre l’effet de serre, etc.). Un champ cultivé de façon intensive présente une valeur biologique quasi nulle et son abandon se traduirait immanquablement par une augmentation de sa valeur biologique. Néanmoins, l’abandon de terres productives ou susceptibles de le devenir est négligeable, la pression foncière est très forte sur ce type de terrain.

Attention au mot paysage  

Les objectifs « paysagers » au sens large sont issus de conceptions normatives liées aux représentations de ce « que doit être » un paysage. Par exemple, la friche, bien qu’étant perçue comme un échec par les agriculteurs, constitue un milieu à part entière abritant de nombreuses espèces spécifiques. Elle est apparue dès que l’homme a appris l’agriculture et fait donc partie intégrante du paysage (Debussche et al., 1993 ; Marty, 1997). 

Autre exemple, l’intégration de consignes de gestion des lisières visant à garantir un passage progressif entre la forêt et la prairie permettrait d’augmenter la diversité biologique d’un secteur, par la préservation d’un certain nombre d’espèces inféodées à ces milieux de transition, tout en menant à bien l’objectif paysager de l’opération.

La sensibilisation des exploitants agricoles à l’intérêt biologique de milieux diversifiés doit permettre la mise en oeuvre d’une maîtrise raisonnable de l’extension des ligneux sur une parcelle.

De ce point de vue, la formation d’un public institutionnel (chambre d’agriculture, DDA, etc.) et privé (exploitants, propriétaires) à la gestion conservatoire de la biodiversité est un des éléments clef de la réussite d’une telle opération. 

Gestion des lisières  après le remembrement à Montillot: en périphérie des cultures, en bordure de forêt, ont été replantées diverses essences connues pour leur adaptation au milieu: merisier, alizier, chêne d’Amérique, acacia ;mais la canicule 2003 rend aléatoire la reprise de ces jeunes plants, cette année.

Deux concepts relativement distincts permettent de mieux percevoir et apprécier l’impact des sociétés sur les paysages/milieux naturels : l’écosystème de référence et le paysage culturel. Le premier pose la question suivante : quelle étape de la dynamique du milieu les mesures de restauration doivent-elles tenter d’atteindre ? Le second met l’accent sur l’importance de l’action humaine dans les paysages qui témoignent des systèmes humains passés.

Les éléments constitutifs d’un paysage peuvent être intégrés de façon très changeante à des argumentaires de gestion. Le cas des actions de boisement entreprises au XIXe et XXe siècles dans le cadre du fonds forestier national est révélatrice de cet état de fait. Par exemple, les paysages caussenards sont tour à tour dénigrés de façon à y promouvoir des reboisements ; puis ces paysages pastoraux sont réhabilités, en particulier dans un souci de conservation du patrimoine naturel (Lepart et al., 2000).

On est alors passé d’un écosystème de référence (la forêt) à un paysage culturel (issu du pastoralisme). Aujourd’hui le paysage culturel tend à devenir le paysage de référence et on a ainsi tendance d’une part à oublier qu’il a été établi par des sociétés dont l’organisation a changé, et d’autre part que l’on supprime la dynamique spontanée du paysage.

Il apparaît alors avec d’autant plus d’acuité que le souci de conservation du patrimoine naturel, au sens de la biodiversité, doit être constamment mis en avant dans les argumentaires liés à la restauration des paysages.

… »l’ère de la grande extermination des plantes est en cours et un vide écologique est en train d’être créé par l’homme »

De la nécessité d’une agriculture durable

Les espèces sauvages qui peuplent les campagnes font partie intégrante du patrimoine naturel et elles justifient tout à fait la mise en place de politiques de conservation de la biodiversité puisqu’elles présentent à la fois un intérêt d’ordre éthique ou culturel, un intérêt économique ainsi qu’un intérêt biologique ou écologique (Barbault, 1993 ; Grime, 1997 ; Aboucaya et al., 2000). Ces espèces sont souvent liées à l’homme et l’agriculture a constitué un formidable outil pour la création d’espèces nouvelles. Par exemple, Les végétaux qui se développent dans les céréales correspondent à des espèces autochtones, recrutées dans des habitats peu stables (éboulis, etc.) et d’espèces allochtones, introduites par l’homme à des époques variées, dont les stations originelles sont le plus souvent localisées dans le bassin méditerranéen, au Moyen Orient ou en Asie centrale. Ces espèces ont accompagné l’homme depuis le début de l’agriculture et certaines d’entre-elles disparaîtraient irrémédiablement sans la survivance d’une agriculture extensive (Kornas, 1983 ; Aboucaya et al., 2000). La flore de France est riche d’environ 7000 espèces (Kerguélen et al., 1987) et pas  moins de 1065 d’entre elles réparties en deux groupes avec d’une part, les espèces prioritaires (486 taxons) et d’autre part, les espèces à surveiller (579 taxons), sont menacées (Olivier et al., 1995). C’est donc plus de 15 % du patrimoine végétal national qui est en danger. Un constat analogue peut être fait en Bourgogne et en Franche-Comté. Ce n’est pas la première fois que des changements importants concernant la biodiversité ont lieu en Europe (Kornas, 1983 ; Begeot, 1997). Toutefois, il semble qu’il y ait une grande différence entre ce qui ce passe aujourd’hui et les changements passés : les pertes de biodiversité végétale et animale ne sont pas compensées par les gains et les processus évolutifs ne peuvent égaler les extinctions. En 1983, J. Kornas s’exprimait ainsi : « The era of « great extermination » of plants set in and a manmade ‘ecological vacuum’ is being created » (l’ère de la grande extermination des plantes est en cours et un vide écologique est en train d’être créé par l’homme). L’auteur de ces lignes envisageait alors deux scénarios alternatifs, l’un optimiste, et l’autre pessimiste. Toutefois, une prise de conscience de ce phénomène semble exister aujourd’hui et le maintien de la biodiversité est devenu une nouvelle priorité pour les gestionnaires de milieux naturels. Il nécessite la mise en place de nouvelles pratiques culturales s’inscrivant dans le cadre d’un développement durable du monde agricole (Burel & Baudry, 1995 ; Jones & Hayes, 1999 ; CMED, 1989). L’introduction de paramètres environnementaux dans les pratiques agricoles est une première étape vers la mise en place d’une agriculture durable. La notion de développement durable cherche à concilier les exigences du développement économique avec celles de la protection des ressources et des milieux naturels (CMED, 1989). La préservation de la biodiversité dépend de notre compréhension des phénomènes qui permettent la création de nouvelles espèces et de leur maintien dans les écosystèmes. Les études démographiques à long terme sont, de ce point de vue, essentielles dans la connaissance de la biologie des populations. On peut espérer que la mise en place des Mesures Agriculture Environnement et l’utilisation des corridors et des réseaux biologiques pourra permettre le maintien des espèces patrimoniales en pratiquant une gestion adaptée, compatible avec l’exercice de la profession d’agriculteur.

Conclusion

Le remembrement est une opération qui est assez caricaturale (du moins tel qu’ils ont été réalisés jusqu’à présent) des relations agriculture/environnement. 

Toutes les données scientifiques accumulées depuis plusieurs décennies montrent un effet nettement négatif de cette opération d’aménagement du territoire sur le patrimoine naturel.

Un autre aspect des choses est que la déprise et l’intensification qui sont les deux problèmes posés par l’agriculture à l’environnement, en terme de biodiversité, ne sont pas du tout traités de la même façon. Seule l’action sur la déprise semble bien acceptée par le monde agricole ; pourtant, il faudra impérativement que la nature retrouve quelques droits dans les zones d’agriculture intensive. Le maintien de la diversité maximale (en terme de valeur patrimoniale) ne va pas forcément à l’encontre du développement économique (Lepart, 1997).

Aller à « droit de réponse » (Fabienne Péchey)

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